Mangeons moins de poisson
Les poissons sont une ressource sauvage, fragile. Ayant la chance de vivre dans un pays où nous ne dépendons pas de la consommation de poissons pour notre survie, consommons donc plus de protéines végétales et moins de protéines animales.
Préférons les méthodes de pêche les plus vertueuses
Il existe une multitude d’engins pour capturer les poissons : les engins “dormants”, plus vertueux, dans lesquels les poissons viennent se piéger (filets, hameçons, casiers etc.) et les engins “trainants” qui capturent les poissons (senne, chalut etc.). Ces derniers sont le plus souvent utilisés à l’échelle industrielle et leur impact environnemental est généralement important. L’engin de pêche doit être indiqué sur les étiquettes : quitte à manger moins de poissons, choisissez les méthodes les plus vertueuses.
Diversifions notre assiette
Saumons d’élevage, crevettes tropicales et cabillauds : voici les trois espèces que l’on retrouve le plus sur les étals des poissonniers. Tentez l’aventure avec du merlu, tacaud, merlan bleu, anchois ou sardine, 3 poissons peu valorisés mais pourtant très bons. Ce faisant, vous diminuerez la pression sur les autres espèces.
Méfions-nous des labels
BLOOM vous les déconseille, sauf s’ils donnent une indication claire, non interprétable.