Depuis plus de 30 ans, dans cette exploitation familiale, les générations de la famille Guillaume se succèdent. Dans le bassin d’Arcis, ils cultivent de bonnes pommes de terre à la texture et au goût parfait. Il y a 10 ans, Mathieu a rejoint l’exploitation agricole familiale avec pour mission de faire perdurer la tradition de cette culture.

On vous présente Mathieu
Il a 35 ans, habite dans l’Aube et travaille en circuit court avec ses clients.
Etre maître de son destin d’agriculteur, se poser la question du débouché, c’est commercialiser soi-même, en circuit court, le fruit de sa production. En effet, cela qui d’être moins tributaire des cours mondiaux de la pomme de terre, très fluctuants à l’heure actuelle.
La culture de la pomme de terre est inscrite dans son arbre généalogique puisqu’elle se pratique depuis plusieurs générations dans sa famille. Dans son exploitation, Mathieu contrôle tout, bien avant la fourche et presque jusqu’à la fourchette (puisque ça, c’est notre job chez FoodChéri) !

Mathieu a lancé son exploitation en 2012, sur les terres de Villers-Herbisse dans l’Aube.
Il a obtenu la certification européenne Global Gap, qui respecte un ensemble d’exigences en matière de sécurité alimentaire, protection de l’environnement, santé du consommateur, sécurité et protection sociale des ouvriers et bien-être des animaux.

Il cultive 120 ha (ce qui est peu à côté de ses voisins!) avec 2 employés permanents et des outils de mécanisation adaptés à son activité. 4 personnes travaillent à temps plein sur la partie transformation et il emploie 5 saisonniers supplémentaires au moment des récoltes (septembre et octobre).
Pour protéger l’environnement, Mathieu adopte des pratiques écologiques et durables.
Par exemple, pour conserver la fertilité du sol, il exerce :
- une rotation des cultures des sols, avec du blé, de la betterave et de l’oignon, afin d’éviter la fatigue du sol, le développement des ravageurs et les maladies
- un usage très faible d’herbicide et de fongicide
- un labour tous les 5 ans seulement
- un recours aux engrais verts
- une fertilisation par compost

Récemment, il a même fait appel à 3 moutons pour consommer les déchets issus de la transformation de ses pommes de terre (pelures, rognures, etc..). Si l’essai s’avère concluant, d’autres animaux iront rejoindre leurs congénères pour absorber une plus grande partie voire la totalité de ces déchets !
Un grand merci à Mathieu pour la confiance qu’il accorde à nos équipes et aux valeurs que nous partageons !
