Chez FoodChéri, on est fiers d’utiliser le Nutri-Score. En cliquant sur un plat sur notre site ou en regardant nos étiquettes, vous pouvez repérer en un coup d’œil si vous vous faites plaisir ou si, au contraire, vous choisissez une option raisonnable.
L’importance de la transparence
On en est persuadés : il est primordial que vous sachiez ce que l’on met dans votre assiette. Pour chaque ingrédient, on utilise des indicateurs de qualité (pêche responsable, céréales issues de l’agriculture biologique, poulet La Nouvelle Agriculture…) ou mieux encore : on travaille en direct avec des producteurs que l’on connait et dont on admire les méthodes de travail. On vous indique ainsi le pourcentage d’ingrédients labellisés, d’ingrédients sourcés en circuit court et de saison… Et ce fameux Nutri-Score !

Le Nutri-Score, comment ça marche ?
Le Nutri-Score, c’est un outil du ministère de la santé qui calcule l’intérêt nutritionnel d’un plat en prenant en compte le positif, comme la présence de fruits et légumes, de protéines et de fibres. Ces données sont mises en perspective avec le négatif : sucres simples, acides gras saturés, sel, kilojoules. Ce système d’étiquetage nutritionnel est basé sur 5 valeurs, allant de A à E et du vert au rouge – soit du plus au moins équilibré. Imaginé dès 2015 par des organismes publics, des industriels, des scientifiques mais aussi des consommateurs, le Nutri-Score est né à la demande de la Direction générale de la santé. Son objectif est aussi simple qu’ambitieux : participer à la lutte contre l’augmentation des maladies cardiovasculaires, de l’obésité ou encore du diabète, en permettant aux Français de favoriser un choix éclairé de produits plus sains (moins gras, moins salé, moins sucré…).
Les limites du Nutri-Score
Le Nutri-Score est hyper utile pour comprendre facilement les étiquettes, même pour les novices en nutrition qui ne savent pas (encore) tout décrypter… Mais il a tout de même ses limites. Un exemple simple ? Des plats qui n’ont qu’un ingrédient (type assiette de charcuterie, burrata seule ou œuf brouillés) et ont un mauvais nutriscore à l’item, puisque leur apport en fibres et fruits et légumes est quasi-nul. Mais ces mêmes ingrédients, une fois composés dans un plat (pâtes à la burrata, œufs dans un bowl ou salade avec de la charcuterie), peuvent donner un Nutriscore A ! De la même manière, au supermarché, il serait très utile pour déterminer l’intérêt nutritionnel d’un plat préparé, mais perd tout son sens pour une bouteille d’huile, qui serait mal notée alors qu’en petite quantité, elle est plutôt bénéfique pour la santé.
L’équilibre selon FoodChéri
Notre but n’est pas de vous proposer des recettes avec un maximum de Nutri-Score A ou B (86% le sont), mais aussi quelques Nutri-Score un peu plus élevé pour les jours où vous voulez vous faire plaisir. L’idée : manger un Bowl et se faire plaisir avec une mousse au chocolat ou opter pour une belle portion de pasta au fromage mais contrebalancer avec une soupe le lendemain. Et le tout, en prenant toujours du plaisir !