Un petit plat pour l’Homme mais une grande empreinte carbone pour l’humanité

Si le titre de cet article vous dit quelque chose, c’est normal. C’est cette phrase mythique passée à la postérité que Neil Armstrong a prononcée le jour où il a posé pour la première fois le pied sur le sol de la cantine de la NASA. Regardant autour de lui, il a ensuite appelé, paniqué, la salle de contrôle pour délivrer ce message important : Houston, on a un problème. Il y a plus de frites à la cantoche.

Aujourd’hui, nous allons parler d’une notion très importante : l’empreinte carbone. C’est une donnée qui permet de connaître la quantité de Co2 nécessaire pour accomplir une activité ou fabriquer quelque chose. Par exemple, quand vous commandez FoodChéri, pour chaque recette, vous disposez de l’empreinte carbone en cliquant sur l’onglet “Sourcing”. Plus cette empreinte est basse, mieux c’est pour la planète. À votre avis, dans l’alimentation, qu’est-ce qu’il a le plus d’impact sur l’empreinte carbone ?

  1. Le packaging.
  2. Le transport.
  3. La nature de ce que vous mangez.

Si vous avez répondu le transport, vous avez tout à fait tort. Contrairement à ce que la logique pourrait laisser croire, la nature de ce qu’il y a dans votre assiette a plus d’impact sur l’empreinte carbone que le transport. Pour vous donner un ordre d’idées, voici trois plats FoodChéri et leur empreinte carbone détaillée.

Vous aurez remarqué deux données intéressantes : la première, c’est que l’empreinte carbone du packaging et du transport est très faible, voire anecdotique, par rapport à celle du plat. La seconde, c’est que l’empreinte carbone du plat, qui apparaît en noir, peut varier considérablement selon la nature de ce que vous mangez : du boeuf aura plus d’empreinte carbone que de la viande blanche, qui en aura plus qu’un plat dans lequel il n’y a pas de viande.

Chez FoodChéri, nous faisons très attention à l’empreinte carbone. C’est pour ça que 50% de notre carte est végétarienne et que toutes nos recettes sont cuisinées à partir d’ingrédients de saison, en priorité bio et labellisés. Et la bonne nouvelle, c’est que nos plats émettent en moyenne 770g de Co2, contre 1530g pour un repas normal consommé en France (source : ADEME 2016 et Etiquettable).